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24 juin 2019 1 24 /06 /juin /2019 21:11

Un des plus grands experts toxicologues du Canada, le Dr David Juurlink, a récemment lâché cette petite bombe : 

« Si le paracétamol était mis sur le marché aujourd’hui, il ne serait pas autorisé à la vente. » 

Si vous pensez qu'il exagère, lisez bien cette lettre jusqu'au bout. D'un point de vue scientifique, vous verrez qu'il a parfaitement raison (certaines découvertes récentes font froid dans le dos...).  Mais je peux d’ores et déjà vous affirmer que nos autorités ne risquent pas d’agir de sitôt.

Car le paracétamol est l’ingrédient principal d’un nombre impressionnant de médicaments : le Doliprane, bien sûr, composé à 100 % de paracétamol … mais aussi le Dafalgan et l’Efferalgan, ou encore ActifedHumexFervexProntalgine, etc...

Cela fait du paracétamol le NUMÉRO 1 des ventes en pharmacie.

En nombre de boîtes, c'est le médicament le plus vendu en France, de très loin, avec la bénédiction de notre système médical.

Au total, les multinationales pharmaceutiques gagnent plus de 6 milliards de dollars avec ce produit. 

Si l’on révélait d’un seul coup toute la vérité sur le paracétamol, c’est tout notre système de santé qui pourrait chanceler : 

  • Pour l’industrie pharmaceutique, le paracétamol est comme un domino : s’il s’effondre, il entraînera beaucoup d’autres médicaments dans sa chute. Car le paracétamol a longtemps joui d’une « bonne réputation » – si même lui est inefficace et dangereux, que penser des autres médicaments ? 

 

  • Pour nos autorités de santé, c’est leur crédibilité qui est en jeu : comment ont-elles pu recommander son utilisation massive pendant si longtemps, et l’autoriser en vente libre ? 

 

  • Quant aux médecins qui ont prescrit ce médicament de bonne foi pendant des années, ont-ils vraiment envie qu’on leur dise qu’ils ont mis leurs patients en danger ? 

Personne n’a intérêt à ce que le scandale éclate.

Alors tout se passe discrètement, à pas feutrés…



Les petites manœuvres commencent

Aux États-Unis, la FDA (l’équivalent de notre « agence du médicament ») l’a récemment avoué : près de 100 000 Américains sont victimes chaque année d’une intoxication au paracétamol… et 450 d’entre elles n’en réchappent pas.

Les autorités canadiennes ont fait un pas de plus : en 2015, elles ont lancé une grande réflexion officielle sur la prescription du paracétamol. Voici ce que vous pouvez lire sur le site du ministère de la santé canadien : 

« Le paracétamol (acétaminophène) est la principale cause de graves lésions du foie, y compris l'insuffisance hépatique aiguë, dans de nombreux pays, dont le Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie. »

Notez que la majorité des surdosages sont parfaitement involontaires.

Pire, dans 1 cas sur 5, ces intoxications gravissimes ont eu lieu alors même que le patient avait respecté la dose maximale autorisée !!

Toujours sur le site officiel canadien, vous pouvez lire : 

« De plus, jusqu'à 20 % des cas de lésions du foie associées au paracétamol mentionnent des doses dans la gamme recommandée (moins de 4 g par jour, soit l'équivalent de 8 comprimés de 500 mg). »

Malgré ce diagnostic sans appel, le Canada n’a toujours pas pris la moindre mesure.

Mais la Suède, elle, a commencé à prendre le sujet à bras le corps.

D’abord, les Suédois ont décidé de retirer le paracétamol des supermarchés, en novembre 2015. Il faut dire qu’entre 2006 et 2013, le nombre d’hospitalisations causées par ce médicament avait été multiplié par deux. 

Puis, en octobre 2016, les autorités suédoises ont interdit aux mineurs d’acheter plus d’une boîte à la fois. Quant aux adultes, ils recevront désormais un avertissement systématique, sous la forme de « conseils d’utilisation ».

C’est déjà un progrès. Car les pharmaciens suédois donneront enfin à leurs clients cette information capitale, qu’on n’entend jamais en France :



Surtout, n’en prenez pas après avoir bu de l’alcool !

Les lendemains de fête, on a souvent mal au crâne. Quoi de plus naturel d’ouvrir son armoire à pharmacie pour attraper un Doliprane ?

Et pourtant, ce simple geste peut vous envoyez à l’hôpital, si vous avez le malheur de forcer sur la dose.

Car cela fait 50 ans qu’on le sait : le paracétamol est toxique pour le foie !

L’alcool aussi. Et comme vous pouvez l’imaginez, si vous combinez les deux, les résultats peuvent être dramatiques.

Dans les services de transplantation du foie en Grande-Bretagne, les deux tiers des patients étaient là à cause d’un excès de paracétamol. Et c’étaient pour la plupart de bons buveurs d’alcool. 

En cas de mélange d’alcool et de paracétamol, ce sont aussi vos reins qui sont en danger : vous avez 120 % de risque en plus d’avoir de graves problèmes rénaux… même si la dose d’alcool est modérée !  

Mais il y a beaucoup, beaucoup plus grave. Le paracétamol n’est pas simplement dangereux en cas de surdose accidentelle. Là où il fait le plus de victimes, c’est chez ceux qui en prennent très régulièrement.



Si vous en prenez trop souvent, vous risquez tout simplement... la mort !

Le gros problème du paracétamol, c’est qu’il ne suffit pas d’éviter les overdoses pour être à l’abri : il est encore plus dangereux de dépasser légèrement mais souvent les doses autorisées.

Une grande étude publiée dans le British Journal of Clinical Pharmacology l’a révélé de manière éclatante. Parmi des patients dont le foie était sévèrement endommagé, ceux qui avaient consommé chaque jour un peu trop de paracétamol avaient plus de risque de mourir que ceux qui avaient été hospitalisés pour un seul surdosage grave.

Ces pauvres malades voulaient calmer leurs douleurs chroniques… et à cause du Doliprane, ils se sont retrouvés dans un service de transplantation, à attendre la greffe d’un nouveau foie… qui arrive parfois trop tard.  Et si vous vous dites qu’il « suffit » de respecter les doses maximales autorisées pour être tranquille, détrompez-vous !

D’après une revue d’études publiée dans Annals of the Rheumatic Diseases, la prise de paracétamol aux doses conseillées augmente de 23 % le risque de mortalité ! 

Les mêmes chercheurs ont aussi découvert que les femmes qui prennent plus de 15 comprimés par semaine ont plus de crises cardiaques : leur risque est augmenté de 63 % !

Or 15 comprimés par semaine, c’est encore deux fois moins que le maximum autorisé !

Bref, le Doliprane n’est clairement pas cette « pilule inoffensive » qu’on vous a longtemps présentée.  Et si vous avez encore le moindre doute, voici d’autres effets indésirables très inattendus, découverts tout récemment :



Saignements gastriques, asthme, surdité, fertilité… et insensibilité !

On a cru pendant longtemps que le Doliprane ne posait pas de souci à l’estomac. C’était d’ailleurs un gros avantage par rapport aux anti-inflammatoires classiques (aspirine, Ibuprofène…), dont on sait qu’ils peuvent provoquer des brûlures d’estomac et des saignements.

Eh bien figurez-vous que cet « avantage » du paracétamol n’est pas si clair que cela.

Dans une étude récente, des patients ont pris soit du paracétamol, soit de l’Ibuprofène pendant 13 semaines. Sans surprise, au bout de 13 semaines, une petite partie des patients sous Ibuprofène avait perdu l’équivalent d’une unité de sang, probablement à cause de saignements digestifs.

Mais la perte de sang était exactement la même chez ceux qui avaient pris du Doliprane, preuve qu’il cause des dégâts digestifs !

Et je n’ai toujours pas fini. Voici les autres risques du paracétamol découverts récemment : 

  • Il rend sourd ! Si vous êtes une femme, il suffit d’en prendre 2 fois par semaine pendant 6 ans pour augmenter votre risque de surdité de près de 10 % ! (Même chose pour l’Ibuprofène, mais pas l’aspirine.) ; 

 

  • Il peut rendre votre enfant asthmatique : s’il en prend régulièrement avant l’âge de 3 ans, son risque d’asthme augmente de 29 % ; 

 

  • Chez la femme enceinte, le paracétamol est à éviter fortement : non seulement il augmente le risque d’asthme de l’enfant, mais il accroît aussi son risque de troubles du comportement et d’hyperactivité, ainsi que d’infertilité et de cancer des testicules chez les garçons ; 

Et comme si cela ne suffisait pas, le paracétamol s’en prend aussi à votre cerveau :

Il suffit d’en prendre 1 000 mg pour que votre empathie baisse : vous devenez subitement moins sensible à la souffrance de ceux qui vous entourent !

Vous voyez que je n’exagérais pas !

Si le paracétamol était une plante chinoise ou un remède naturel… il serait interdit et pourchassé depuis longtemps… les médias nous abreuveraient de messages pour dire à quel point sa consommation est dangereuse et déconseillée…

…et si un naturopathe avait le malheur de le prescrire à un malade, il serait immédiatement traîné en justice, accusé d’être un meurtrier en puissance.  Et tout ça pour quoi ? Pour un médicament particulièrement inefficace !



Parfaitement inefficace en cas d’arthrose ou de mal de dos

Je sais que cela va vous surprendre. Mais ce sont deux articles scientifiques récents qui ont révélé le pot aux roses. Ils ont été publiés dans les journaux médicaux les plus respectés au monde, le British Medical Journal et The Lancet.

Dans le premier, les chercheurs ont passé en revue toutes les études ayant comparé l’efficacité du paracétamol à un simple placebo.

Et le résultat est saisissant : contre les douleurs de l’arthrose et de la lombalgie (mal du bas du dos), l’effet du paracétamol est soit totalement « inefficace », soit « insignifiant ».

Dans le second article, les chercheurs ont recensé 74 études ayant impliqué près de 60 000 patients victimes d’arthrose.

Et ils sont arrivés exactement à la même conclusion : le paracétamol n’entame pas d’un millimètre les douleurs articulaires, par rapport à un simple placebo.

Et pourtant, aujourd’hui encore, en 2017, le paracétamol reste le médicament prescrit en première intention contre l’arthrose et les lombalgies.

Mais là où il est le plus utilisé, de loin, c’est contre les rhumes et les états grippaux.

Et là encore, c’est assez aberrant.



Inutile et dangereux en cas d’état grippal

D’abord parce qu’il est inutile et dangereux de chercher à faire baisser la fièvre d’un adulte, au moins tant qu’elle ne dépasse pas 39,5°.

Car la fièvre est votre amie ! Elle est là pour vous aider à tuer les microbes. Si vous l’empêchez d’agir, vous risquez tout simplement d’être malade plus longtemps et plus gravement !

Il est donc insensé de prendre du Doliprane au moindre petit état grippal !

De plus, il faut éviter comme la peste les médicaments à base de paracétamol spécialement conçus pour le « rhume », comme Actifed ou Fervex, car ils contiennent en plus des produits douteux : 

  • Actifed contient aussi de la pseudoéphrédine, une molécule proche des amphétamines et dont les effets indésirables ont été jugés « peu acceptables » en 2008 par la Commission nationale de pharmacovigilance ;

 

  • Le Fervex et l’Humex contiennent de la phéniramine, un antihistaminique aux propriétés anticholinergiques et qui, à ce titre, accroît votre risque de développer Alzheimer. 

Avez-vous vraiment envie de prendre des risques pour un simple rhume ?

Surtout quand vous avez compris que ces médicaments ne vous aideront jamais à guérir, puisqu’ils n’agissent pas sur les virus. Dans le meilleur des cas, ils « soulagent vos symptômes ».

D’accord, me direz-vous, mais si on a une vraie grippe, bien douloureuse, cela ne vaut-il pas le coup d’être « soulagé » ?

Si cela marchait, cela serait évident, bien sûr (avoir une grippe est très douloureux) ! Mais est-ce vraiment le cas ?

Pour en avoir le cœur net, des chercheurs de Nouvelle-Zélande ont sélectionné 80 patients atteints d’état grippal sérieux, dont la moitié ayant une grippe confirmée.

Et ils leur ont donné soit un placebo, soit 4 000 mg par jour de paracétamol (une dose très forte) pendant une à deux semaines.

Eh bien figurez-vous qu’ils n’ont pas trouvé la moindre différence dans l’état des deux groupes. Même sur la fièvre, le paracétamol n’avait pas eu le moindre effet !! 

Voilà pour l’efficacité du paracétamol. Un mythe s’effondre !

Alors n’hésitez plus : arrêtez d’acheter du Doliprane et tournez-vous vers les solutions naturelles, plus efficaces et moins dangereuses !



Des alternatives naturelles efficaces et sans danger

Si vous ne prenez qu’un ou deux comprimés de Doliprane tous les 2 ou 3 mois, vous ne risquez pas grand-chose, bien sûr. Mais même dans ce cas, il y a tout de même mieux à faire ! Je vous ferai prochainement une lettre détaillée sur les meilleurs anti-douleurs, mais je voudrais ici vous rappeler que : 

  • En cas de mal de tête, l’aspirine est nettement plus efficace que le paracétamol, mais il existe aussi des alternatives naturelles qui font moins de dégâts à l’estomac, comme l’huile essentielle de lavande vraie ou de menthe poivrée ; (voir le 6 juillet 2019 à Ecouen)

 

  • La douleur est presque toujours liée à l’inflammation. Or le curcuma et le gingembre sont d’excellents anti-inflammatoires naturels, qui réduisent très efficacement la plupart des douleurs. Commencez toujours par cela avant de prendre quelque chose de plus fort ! 

 

  • Contre l’arthrose, la glucosamine et chondroïtine d’un côté, et l’harpagophytum réduisent aussi efficacement les douleurs que les médicaments anti-inflammatoires. 

 

  • Des huiles essentielles comme l’Eucalyptus citronné ou la Gaulthérie couchée font des merveilles pour lutter contre les douleurs générales dentaires, musculaires, règles douloureuses, état grippal… quelques gouttes suffisent pour vous soulager rapidement ! 

Et n’oubliez pas non plus de vous servir d’un remède vieux comme le monde : la chaleur ! Une bouillote chaude là où vous avez mal soulage dans de nombreux cas !

C’est ce qu’on faisait du temps de nos grands-mères : il n’y avait pas de paracétamol… et on ne s’en portait que mieux !

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22 juillet 2018 7 22 /07 /juillet /2018 20:15

Doit on faire un petit déjeuner le matin

Toute ma vie j’ai cru que faire un petit déjeuner était bon pour la santé, qu’il fallait prendre des forces le matin, j’en était convaincu à tel point que sortir le matin de chez moi était pour moi une mission impossible.

Mais à force de me documenter sur la santé, je me suis aperçu que l’agro alimentaire arrivait à nous faire croire des tas de choses pour leurs rentabilités.

Chaque fois que je voyais un document du style ‘’ courir à jeun ‘' ou brûlez vos grasse en vous entrainant à jeun je zappais en haussant les épaules. Mais aujourd’hui je dois me rendre à l’évidence, que sauter le petit déjeuner est une chose évidente et formidable, qui apporte bienfait sur l’organisme, perte de graisse, meilleurs sensations sur des épreuves sportives, meilleurs réflexions au niveau neuronale, améliorations des performances avec moins de fatigue et une meilleur endurance, meilleur récupération. De plus cette pratique permet sur le long terme un meilleur repos du corps et des organes et en premier plan celui du pancréas. Voyons de plus près cette pratique avec mes explications.

En effet, les bienfaits pour votre santé d’une promenade, course à pied, tour à vélo ou autre exercice seront grandement améliorés si vous restez à jeun. (Prenez néanmoins un bon thé ou café sans sucre bien sûr, voir plus loin).

Se bourrer de glucides avant le sport n’augmente pas les performances

On a longtemps pensé qu’il fallait manger beaucoup de glucides (par exemple, des pâtes) avant de faire du sport. Il est vrai que, à court terme, les glucides aident pour les efforts violents (par exemple le sprint). 
Mais manger avant le sport empêche votre corps de brûler ses réserves de graisse. Le sport à jeun aide à brûler la graisse

Lorsque vous faites du sport le ventre vide, votre corps va puiser son énergie dans vos réserves de graisse, qu’il transforme en « corps cétoniques ». 

Pour comprendre ce que sont les corps cétoniques, voyons brièvement comment le corps « gère » la nourriture que nous mangeons, pour produire de l’énergie. 

Lorsque vous mangez, votre nourriture digérée passe dans votre sang et fait augmenter le taux de sucre de votre sang (glycémie). 

Pendant 4 à 6 heures, votre pancréas fabrique de l’insuline qui fait baisser le sucre sanguin en le faisant entrer dans les cellules. 

Mais peu à peu, vos intestins se vident et n’envoient plus de sucre dans le sang. Le sucre vient alors à manquer. Votre corps arrête de diffuser de l’insuline et diffuse à la place du glucagon. 

Le glucagon casse le gras dans les tissus adipeux pour en faire des acides gras libres. 

Ceux-ci peuvent alors être transformés en un carburant pour cellules appelé « corps cétoniques ». Il remplace très efficacement le glucose quand nous n’en avons plus. 

En revanche, dès que vous commencez à manger, ce processus s’arrête. Vous ne brûlez plus de graisses.

L’abondance de nourriture nous empêche d’utiliser la fonction « brûle graisse » de notre corps

Aujourd’hui  la nourriture est abondante partout dans nos pays, la majorité d’entre nous mangeons constamment (toutes les 4 à 6 heures la journée). Nous n’arrivons jamais, ou que sur de très courtes périodes, dans cet état de production de « corps cétoniques ». 

Nous ne brûlons donc jamais nos réserves de graisse, qui s’accumulent, et vieillissent. 

Les études montrent que faire du sport le ventre vide après une nuit de sommeil augmente l’utilisation des corps cétoniques. Plusieurs de ces études montrent que nous brûlons 20 à 30 % de graisse en plus dans ce cas.

« Vais-je me sentir faible si je ne mange pas ? »

Si vous avez l’habitude de bien manger avant de faire du sport, vous risquez de vous sentir faible au début. C’est normal, vous avez habituer votre corps à manger le matin, donc votre taux de cortisol est bas. C’est grâce au cortisol que vous vous lever le matin, sans ce dernier, impossible de se lever. Par contre si vous habituer à ne pas manger le matin, votre taux de cortisol sera aux plus haut surtout une demi heure après votre réveil. L’homme chasseur cueilleur de l’époque se levait le matin et partait chasser, son taux de cortisol devait être au plus haut pour suivre sa proie, ne pas raté sa cible sinon sa faim serai plus forte encore. Mais aujourd’hui l’homme moderne à perdu cette fonction au détriment de l’agro-alimentaire qui nous à fait croire que le petit déjeuner était indispensable pour notre santé (pour leurs bisness il savent y faire).

Le sentiment de partir à jeun peut être désagréable. Vous l’atténuerez en choisissant des activités douces comme la marche ou la natation lente. Ceci dit, l’habitude se prend très vite car le corps apprend à se mettre en « cétose » pour devenir (l’état où il fabrique, et consomme, des corps cétoniques). 

Une fois que vous êtes habitué (que vous êtes lipo-adapté) vous ne reviendrez pas en arrière car vous ne supporterez plus d’avoir l’estomac plein, ce qui vous donne l’impression d’être lourd et léthargique, quand vous faites du sport. 

En revanche, n’hésitez pas à boire un bon café ou un thé vert avant de commencer. Cela accélèrera votre métabolisme et vous aidera à brûler vos graisses encore plus vite. Et buvez bien sûr de l’eau chaque fois que vous avez soif.

Allez-vous plus manger après ?

Un autre intérêt de partir faire du sport le ventre vide est tout simplement que cela vous fait sauter un repas. 

Le jeune intermittent (16 heures sans manger) a des bienfaits prouvés sur l’espérance de vie. Au bout de 18 heures, les scientifiques parlent d’une augmentation de la testostérone de 2000 % (les chiffres peuvent sembler incroyable, mais une chose est sûr, c’est que cette augmentation va permettre une augmentation de la masse musculaire, augmentation de la masse osseuse … et bien d’autres effet désiré. Sachez que manger trop souvent dans la journée est très mauvais pour votre santé, chaque fois que vous manger votre taux de testostérone baisse.

Faire du sport vous aidera à oublier votre faim, d'ailleurs vous n'avez pas faim, mais vous avez envie de manger, c'est pas la même chose.

À table, vous aurez plus faim que d’habitude. Mais pas au point de faire l’équivalent de deux repas (petit-déjeuner plus déjeuner) d’un coup. 

Globalement, vous aurez donc moins mangé. 

Faites ce petit effort (de sauter un repas) au moins une fois par semaine pour commencer à vous habituer.

Cela fait un bien fou à la santé et au moral. La plupart des personnes constatent une augmentation de leur énergie, et une amélioration de leur humeur. Voir la vidéo du petit déjeuner avec sport et santé sur you tube en cliquant sur ce lien :  
https://youtu.be/Cr-Li2wId20

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5 janvier 2018 5 05 /01 /janvier /2018 23:50
Ce médecin visionnaire a guéri des milliers de diabétiques au 19ème siècle, par des méthodes naturelles. Par bonheur, il a rassemblé ses secrets les plus précieux, issus de 50 ans de pratique, dans un précieux recueil intitulé : Du Diabète sucré - son traitement hygiénique, publié en 1875.
À chaque page, on est abasourdi de voir à quel point les prescriptions de ce génie méconnu correspondaient en tous points aux résultats des recherches scientifiques les plus récentes.
Quel gâchis que la médecine académique l’ait laissé moisir pendant plus d’un siècle sur les étagères d’une bibliothèque ! Et quel temps perdu pour les malades.
Son seul tort : guérir naturellement et sans effet secondaire

Les recommandations alimentaires officielles pour les diabétiques ont au moins 20 ans de retard sur les données scientifiques récentes.

Mais elles ont surtout 150 ans de retard sur les observations du Dr Bouchardat !

Avez-vous seulement entendu parler de ce Français, bienfaiteur de l’humanité ? Je suis sûr que non. Son nom n’est même pas prononcé dans les écoles de médecine !

Il aurait sans doute eu droit au Panthéon s’il avait inventé un médicament. Mais son « tort » a été de guérir les diabétiques naturellementsans effet secondaire.

Son traitement faisait même mieux que les molécules chimiques actuelles : dans la plupart des cas, il redonnait à ses patients une énergie et une longévité impossibles à obtenir par des moyens artificiels.

Il a mis le doigt sur les causes élémentaires du diabète

Il s’est rendu compte qu’il n’y avait rien d’accidentel dans l’apparition du diabète.

Il observe en effet que les diabétiques un « goût prononcé pour le pain, les autres aliments féculents et sucrés », et font un « abus de limonades, de la bière, du cidre, de fruits, de raisins, d’aliments sucrés»

Il remarque aussi que les laboureurs et vignerons ne sont jamais atteints par le diabète.

Pourtant, leur alimentation est très riche en féculents. Mais, explique-t-il, « le travail énergique de chaque jour régularise l’utilisation complète des aliments glycogéniques. »

Cela veut dire, dans le langage d’aujourd’hui, que ces grands travailleurs « brûlent » ces aliments riches en glucides par une activité physique intense et journalière.

Autre fait significatif, il se rend compte que le diabète affecte surtout les classes aisées : ceux qui mangent le plus de nourritures sucrées, et passent l’essentiel de leur temps assis :

« Parmi les professions urbaines, celle que je trouve en première ligne dans le bilan de la glycosurie, ce sont les notaires. (…) Les notaires sont glycosuriques, parce qu’ils sont assidus à leur étude (…), puis ils sont généralement riches, et ils ne dédaignent pas une table bien servie ».

 

Comme d’autres médecins de son époque, le Dr Bouchardat a donc recommandé à ses patients de manger avec modération et de faire davantage d’activité physique.

Mais son génie est venu de la nature exacte et précise des aliments recommandés et défendus.

Non seulement il a mis au point un régime conforme aux données scientifiques les plus récentes, mais il s’est appliqué à le rendre facile à suivre sur le long terme. Car il savait bien que, si le régime était trop contraignant, ses patients finiraient par l’abandonner.

Chacune de ses recommandations sont autant de pépites – pour les diabétiques, bien sûr, mais aussi pour tous ceux qui cherchent à perdre du poids :

Les aliments défendus : féculents, lait, aliments et boissons sucrées

Sa première règle est simple : « la suppression, ou au moins une diminution considérable dans la quantité d’aliments féculents et sucrés. »

Il demande ainsi de supprimer TOUS les féculents :

« Le pain ordinaire, composé soit de froment, soit de seigle, soit d’orge, etc. ; les pâtisseries, le riz, le maïs et autres céréales, les radis*, les pommes de terre et les fécules de pomme de terre, d’arrow-root, les pâtes farineuses de toutes sortes, telles que vermicelle, semoule, macaroni, etc. ; les semences des légumineuses, tels que haricots, pois, lentilles, fèves ; les marrons et les châtaignes ; la farine de sarrasin. »

 

C’est une étape indispensable. On sait aujourd’hui que, loin d’être des « sucres lents », la plupart de ces aliments ont un indice glycémique important, c’est-à-dire qu’ils élèvent fortement le sucre sanguin. L’autre interdit majeur, ce sont bien sûr les aliments sucrés :

« Je proscris les fruits sucrés, tels que raisins (qui contiennent quelquefois le tiers de leur poids de sucre), les prunes, les abricots, les pommes, les poires, les melons, les figues, et en général tous les fruits sucrés, frais ou desséchés, tels que pruneaux, raisins secs, figues, etc. et à plus forte raison les différentes variétés de confitures, les glaces, sorbets glacés, etc. »

 

Tous, effectivement, sont très sucrés et donc à éviter. Le seul aliment qui pourrait surprendre est la pomme, qui a une charge glycémique modérée. Mais il faut garder à l’esprit que le Dr Bouchardat faisait face à des diabètes très enracinés, pour lequel toute dose modérée de sucre était un frein à la guérison.

C’est pourquoi il proscrit aussi ces autres aliments contenant du sucre : les « racines contenant du sucre de canne, telles que les betteraves, les carottes, les oignons, les raves, les navets, etc ».

Mais le Dr Bouchardat n’est pas un « idéologue » borné. C’est par l’observation qu’il a conçu son régime, et non par l’obsession de supprimer toute trace de sucre :

« Les fruits rouges, tels que fraises, cerises de toutes variétés, groseilles, framboises, mûres, berberis, etc. semblent au premier abord être plus nuisibles que les fruits sucrés car, comme eux, ils renferment du sucre et en plus des acides, dont il ne faut point abuser. Cependant, l’observation m’a montré qu’ils étaient moins à redouter que les fruits simplement sucrés que j’ai énumérés. »

 

Cette remarque est d’autant plus remarquable qu’il est aujourd’hui démontré   que les petits fruits noirs et rouges sont bourrés d’antioxydants, qui aident à vaincre le diabète.

Et voici une autre recommandation sur laquelle il a eu 150 ans d’avance : celle de proscrire le lait pour les diabétiques 

 

« Il y a longtemps que j’ai établi que les 50 grammes de lactine d’un litre de lait pouvaient donner 50 grammes de glycose dans les urines d’un glycosurique. »

Voilà donc un fait connu depuis… le milieu du 19ème siècle. Grâce aux moyens modernes, on sait en plus, aujourd’hui, que le lait contient de l’insuline bovine et dérègle la capacité de l’organisme à contrôler le sucre sanguin.

Et pourtant, nos autorités de santé, sous la pression des industriels du lait, continuent de prescrire aux diabétiques « au moins trois produits laitiers par jour. »

« M… est âgé de quarante-huit ans ; il habite une localité voisine de la mer. Il consulta un médecin… Il lui prescrit le régime que j’ai fait connaître. Aucune amélioration. Je fis un inventaire exact de tous les aliments ingérés pendant les 24 heures. Je trouvais le régime bien réglé (…) J’eus la pensée d’interroger le malade sur la nature et la quantité de boissons, et j’appris que chaque jour, pour se désaltérer, il consommait trois litres de lait. Je lui fis suspendre immédiatement l’usage de cette boisson alimentaire. Après deux jours de cette abstention, ses urines ne contenaient plus aucune trace de glycose. Le malade retourna dans son pays, reprit ses occupations très-actives, régla son régime avec intelligence, suspendit l’usage du lait, et sa santé devint excellente. »

 

Enfin, le régime du Dr Bouchardat interdit évidemment les boissons sucrées : « limonades gazeuses, vins de Champagne, bière et cidre » (aujourd’hui, il ajouterait les sodas et jus de fruit).

*Il reconnaît que les radis ne sont pas des féculents mais il a observé un effet délétère de leur consommation chez les diabétiques. 

Les aliments recommandés : viande, poisson, œufs (avec modération)

Toutes les viandes sont recommandées « avec tous les assaisonnements qui stimulent l’appétit, pourvu que la farine n’intervienne pas dans les sauces. »

Même blanc-seing pour les poissons, que l’on peut « accommoder avec de l’huile en grande quantité et du vinaigre en petite proportion ». Aucun problème non plus avec les « autres animaux alimentaires, tels que les huîtres, les moules, les escargots, les langoustes, les crevettes, les grenouilles. »

Il note que les « œufs, sous toutes formes variées qu’a imaginé l’art culinaire, sont d’une grande utilité ». Sont autorisés également « la crème privée de lait » « (le beurre) et les « fromages de toutes sortes ».

Le Dr Bouchardat recommande bien sûr de consommer tous ces aliments avec modération.

Mais il n’est pas favorable pour autant à une trop forte restriction calorique – ce qu’on appelle la « diète », à l’époque.

Peut-être avait-il observé l’effet « yo-yo » des régimes ? En tout cas, sa prescription est claire : « un homme habitué à faire de trop copieux repas ne doit venir que graduellement à des habitudes plus sobres, qu’une lente mastication aide à prendre ».

De la graisse en quantité pour éviter la faim

Car s’il y avait bien une chose qui obsédait le Dr Bouchardat, c’est que ses patients ne souffrent pas de la faim, « n’éprouvent point ce sentiment de vacuité stomacale qui leur est si pénible ».

Il n’avait pas accès (fort heureusement) aux médicaments chimiques « coupe-faim » comme l’Isoméride ou le Médiator… mais il avait beaucoup mieux : « les corps gras ».

Pour compenser la suppression des féculents et aliments sucrés, il conseille ainsi aux diabétiques de consommer les graisses les plus variées :

« Beurre, lard, graisses de porc, de veau, de boeuf, de mouton, de cheval, etc., d’oies, de canard », « l’huile de foie de morue » (sa préférée) et « les huiles d’olives, d’oeillet, de noix, de sésame, de faîne, de chenevis exprimés à froid, de navette, de colza. »

 

Car les bonnes graisses sont précieuses contre la faim. Elles permettent d’obtenir un sentiment de satiété beaucoup plus solide que les glucides (féculents et aliments sucrés).

Et elles ont un intérêt supplémentaire : « les viandes, les poissons, les oeufs, les boudins, etc., deviennent plus savoureux par leur judicieuse intervention. »

C’est tellement vrai que les produits industriels d’aujourd’hui, « allégés en graisse », sont bourrés de sucre pour essayer de leur donner un peu de goût.

 

Au final, les recommandations du Dr Bouchardat sont à l’opposé de celles qui ont circulé en Occident à partir des années 1970-1980. On a dit aux Américains et Européens de manger « moins gras »… Pour compenser, ils se sont mis à manger davantage de sucre et de féculents… et comme par hasard, c’est à ce moment-là qu’a commencé l’épidémie de diabète et d’obésité !

Sans oublier les végétaux et oléagineux

Le Dr Bouchardat vante enfin l’intérêt des végétaux (les « herbes ») :

« Les herbes devront intervenir à chaque repas en proportion modérée. Etre bien mâchées, pour éviter la distension de l’estomac, elles devront être associées à une forte proportion de corps gras, qui favorisera le glissement des aliments herbacés dans l’intestin et qui complétera l’alimentation. »

 

Entre parenthèses, c’est un conseil d’autant plus judicieux que l’on sait aujourd’hui que manger des végétaux avec de la matière grasse permet de mieux absorber leurs vitamines et minéraux.

 

Les végétaux recommandés sont très nombreux :

« Les épinards, la chicorée, la laitue, les asperges, les artichauts, les haricots verts, les salsifis, les cardons, les concombres, les choux de Bruxelles, les choux fleurs, les choux. (…) Les salades de cresson surtout, de chicorée, de pissenlit, de romaine, d’escarolle, de barbe de capucins, de scosonère, de laitue, de mâche. (…) Les champignons conviennent. »

 

Quant aux précieux oléagineux, le Dr Bouchardat ne les oublie pas :

« Pour le dessert, avec les fromages, les olives conviennent très bien ; les autres fruits oléagineux, tels que les noix, les amandes, les noisettes, les pistaches, contiennent un peu de sucre et ne sont permises en quantité élevée que lorsque les urines ne sont plus sucrées. »

 

Au total, ce régime très complet devrait éviter d’avoir faim.

 

Mais le Dr Bouchardat a deux astuces pour ceux qui en souffriraient quand même : « manger dans la journée des graines de cacao torréfiés ou du chocolat sans sucre ni farine » (du chocolat 100 %) et, encore mieux « mâcher des olives ».

Un régime « d’attaque » pour préparer des lendemains qui chantent

Mais dans l’esprit du Dr Bouchardat, ce régime très rigoureux au départ doit pouvoir être assoupli, une fois que l’état du patient s’est amélioré :

« Il importe, en commençant le traitement, de rendre le régime assez rigoureux pour obtenir promptement la disparition complète de la glycose des urines. Après quelques semaines du retour des urines à l’état normal, il faut revenir peu à peu à l’usage modéré des aliments glycogéniques. »

 

Une fois restaurée la capacité de l’organisme à stabiliser naturellement le sucre sanguin, il est donc possible de réintroduire des aliments glucidiques avec modération (voir l'article sur ''les glucides font il grossir''), ce qui est une excellente nouvelle pour les malades :

« Par l’alimentation, avec du temps, de la vigilance, je fais perdre à l’organisme de mauvaises habitudes morbides, et dans plusieurs cas, j’ai vu se rétablir ainsi l’harmonie des fonctions. (…) Chez un grand nombre de malades on peut revenir à un usage suffisant des féculents sans que le sucre reparaisse dans les urines. »

 

Mais la prescription de notre médecin visionnaire ne s’arrête pas là. Il avait aussi une deuxième arme secrète contre le diabète.

L’activité physique, le coup de grâce contre la maladie

« Il est des cas, nous dit le Dr Bouchardat, où le régime seul suffit ». Mais « l’exercice est une condition des plus favorables pour faire disparaître les dernières traces de glycose. »

 

Là encore, c’est une phrase prémonitoire lorsque l’on sait (depuis peu !) que certaines formes d’exercice physique sont très efficaces pour vaincre la résistance à l’insuline des diabétiques.

 

Mais attention, tous les exercices ne se valent pas :

« Il est un exercice qui possède ce précieux avantage, ce sont les travaux en commun bien réglés et progressifs, avec l’accroissement des forces, dans un gymnase convenablement dirigé, fourni d’appareils variés, où toutes les précautions sont prises pour éviter les contusions, les écorchures, et l’excès de travail. »

 

Autrement dit : la musculation… en salle de sport !

Des activités comme la marche rapide sont précieuses, dit-il, mais elles ne donnent pas autant de résultats. Pour le Dr Bouchardat, il est important que « après des exercices qui en moyenne doivent durer une heure, le corps soit baigné de sueur. »

 

Et, une fois de plus, la science la plus moderne confirme son diagnostic !

 

D’abord, sur l’intérêt ce que Bouchardat appelle « le travail de force » (la musculation). On sait aujourd’hui que la masse musculaire a un effet mécanique contre le diabète : comme les muscles ont besoin de sucre, plus vous êtes musclé, plus vous réduisez la quantité de sucre qui circule dans votre sang.

 

Et pourquoi faudrait-il être « baigné de sueur » ? Parce que ce sont les exercices à haute intensité (musculation ou exercices « fractionnés ») qui sont les plus efficaces pour les diabétiques – cela signifie que, si vous faites de la course, du vélo ou de la natation, il vaut mieux faire des séries de 5 à 8 sprints répartis sur 20 minutes plutôt qu’une longue séance d’endurance en restant à la même vitesse. 

Guérir, sans médicament

Et voilà comment, sans le moindre médicament, le Dr Bouchardat a guéri le diabète de milliers de patients, tout en renforçant leur force et leur santé générale.

Ce message me fut envoyé par le Dr Xavier Bazin de l'association ''santé corps esprit''

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21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 19:51


Etre en bonne santé ce n'est pas vivre longtemps, mais c'est être bien dans sa peau, sans douleurs, être de bonne humeur, capable de faire des activités physiques sans trop de peine ...
Des études ont démontrées que l'espérance de vie augmentait, une vie toujours plus longue mais pas forcément en meilleure santé. Un article dans ''Science et vie'' publié en juin 2013 explique que dans certains pays on vivait de plus en plus longtemps mais avec une santé qui se détériore de plus en plus tôt. La plupart des gens ont une confiance aveugle en leurs médecins et pharmaciens, en pensant que la médecine moderne a raison sur tout ... mais, il faut savoir que sous l’influence des puissantes industries pharmaceutiques, un gros marché scandaleux vous maintient en mauvaises santé. Aujourd'hui il vaut mieux éviter toute sorte de médicaments, même une simple aspirine. Je ne dis pas que tout les médicaments sont mauvais, mais il faut savoir que beaucoup de médicaments sont inefficaces, voire dangereux. Par exemple, l'aspirine, est responsable de problèmes d'estomac, donc, le médecin vous dirigera vers des IPP ( inhibiteurs de la pompe à protons ) qui eux sont inefficaces et dangereux, ils augmentent d’au moins 44 % le risque d’Alzheimer et de démence, augmentent le risque d’infarctus de 20 %, augmentent le risque de maladie grave des reins de 20 à 50% ..., avec en plus un risque accru de fracture de la hanche, de pneumonie,  ces médicaments ne guérissent jamais le patient ,  ils soulagent le symptôme , la douleur, sans jamais s’attaquer à la racine du problème. 
Pour lutter contre le mal de tête et les brûlures d’estomac, il existe quantité de remèdes naturels, efficaces et sans le moindre effet secondaire. Nous en reparlerons dans un prochain sujet.
Aujourd'hui nous le savons tous, une bonne santé commence par une bonne alimentation équilibrée et surtout de préférence biologique, là aussi nous verrons ce sujet sur un article spécialement  dédié à cela.
Une activité physique régulière est plus que conseillée avec ses périodes de repos et de sommeil réparateur...
Après, faut il encore savoir ce que c'est qu'une alimentation équilibrée, qu'est ce qu'un bon repos (la surconpensation), ainsi qu'un bon sommeil, je vous en parlerai aussi sur un théme dédié.

 

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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 19:25

J'ai fait mes dernières compétitions de karaté en 2000 _ 2001 avec une médaille d'or au Val d'Oise et de Bronze au France, et depuis je m'entraîne de moins en moins, voire plus du tout, juste quelques entraînement par ci par là pour me donner bonne conscience, sans suivi, sans objectif, et bien sûr mes cours de karaté que je donnais jusqu'en 2012. Et voici que 14 ans plus tard je m'engage pour les championnats du Val d'Oise qui auront lieu le Dimanche 1er mars 2015.

bien sûr je ne me suis pas engagé comme ça sans préparation, j'ai repris le sport avec régularité (vélo, musculation, sport de combat..., et de plus en plus intense depuis environ deux ans.

j'ai pris en compte que je devais reprendre le sport lorsque, il y a quelques années en arrière, en vacances en Normandie sur un parcours de santé, il y avait des petites haies pas plus haute que mes mollets qui fallait enjamber. Je prend un peu élan, persuadé que je passerai sans problème. J'ai réussi à passer, mais de justesse, j'ai du poser mon pied dessus pour ne pas tomber ( c'est souvent comme ça que se retrouve dans l'émission "video gags"), et dire qu'à l'époque ou je compétitais, je pouvais sauter facilement pied joint départ arrêté une barrière aussi haute que le niveau de mon sternum sans toucher avec mes pieds ou mains.

Alors j'ai repris l'entraînement avec objectif, le premier était de faire le tour de Bretagne en vélo pour l'été 2013, une fois fait, c'était de reprendre le karaté et reprendre la compétition. Plus une fois que sera fait,il faudra que je trouve d'autres objectifs. Car sans objectif, c'est dur d'aller à l'entraînement, surtout après une journée de boulot, où se lever le dimanche matin pour aller se dépenser dans une salle de sport ou faire une sortie vélo, rando, footing...

il y a deux ans en arrière j'ai repris doucement une fois par semaine régulièrement, j'avais beaucoup de mal, puis progressivement lorsque je me sentait mieux et que la récupération était plus rapide, je m'entraînais deux fois, puis trois, régulièrement sans manquer une semaine, puis progressivement trois, parfois quatre fois.

Aujourd'hui je me sens mieux, et je cours plus vite, plus longtemps en fatigant moins. Lorsque vous ne vous entraînez plus, que vous êtes dans votre fauteuil, vous êtes bien, vous ne vous rendez pas compte que vous régressez, vous pensez que vous êtes capable de faire se que vous faisiez avant, la réalité c'est lorsque vous devez faire le moindre effort, enjamber, sauter, courrir, surtout si vous avez pris quelques kilos, là vous devez vous rendre à l'évidence.

Il me reste un peu plus d'un mois pour me préparer pour ces Val d'Oise. Je reviendrai pour vous communiquer les résultats.

St Malo, Bretagne, Aout 2013, avec mon vélo je finissais mon tour.

St Malo, Bretagne, Aout 2013, avec mon vélo je finissais mon tour.

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 08:25
Ce sera une des plus petite étape de ce tour de Bretagne avec environ 35 km, de Dinan à Saint-Malo en passant par Dinard. La veille j'appréhendais du fait de ma fatigue, mais finalement après une bonne nuit tout s' bien passé. Je me sentais super bien, le temps était très agréable, la météo annonçait jusqu'à 30 degrés (rare en Bretagne), et la plupart de mon parcours était des pistes vertes ombragées destinées uniquement pour les vélos et les promeneurs. Fabienne m'a rejoint à Dinard puis à Saint-Malo.

Ce tour de Bretagne à été fait en 11 étapes sur 14 jours, environ 800 km sans compter les randonnées à pied.
Ce fut pour moi des vacances agréable, ou j'ai pu faire du vélo à mon rythme tout en visitant la Bretagne. J'ai eu du beau temps tout le temps (sauf une demi journée), pas de crevaison ou de problème technique, pas de crampe, ni tendinite. Avec Fabienne nous rentrons finir la semaine à Barneville.
Kenavo Breizh (au revoir Bretagne)
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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 11:25
En quittant Perros le mardi 19 aout, je me dirige vers St. Brieuc via Paimpol où Fabienne m'attend et en longeant la cote, tout les chemins pour vélo et en passant par Treguier (jolie ville de caractère). Je retrouve Fabienne au port de Paimpol , on mange ensemble et nous nous promenons dans le centre ville. On décide de modifier l'itinéraire et de passer à Dinan, Comme il est tard, je décide d'aller en voiture à Lamballe. Le lendemain matin je pars pour Dinan par les petits chemins de campagne. Pour la première fois depuis le début, j'ai ressenti une fatigue dans les muscles des jambes et je suis arrive à Dinant assez fatigue. Pourtant l'étape était courte et sans trop de cotes. Dinan est une ville fortifiée et magnifique. J'appréhende la dernière étape du lendemain.
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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 07:08

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